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Peux-tu nous parler de ton parcours professionnel et de comment tu es arrivé chez SEROR ?
Avant de rejoindre SEROR, j'étais serveur. J'ai quitté la restauration pour me consacrer à ma vie de famille et j'ai travaillé dans une entreprise de transport, puis dans une usine de convecteurs. C'est par le biais de connaissances que j'ai trouvé ce travail. J'avais une certaine crainte au début, je me disais 'oh là là, la dératisation, qu’est-ce que je vais faire là-bas ?' Mais j'ai tenté le coup. Cela fait maintenant 16 ans que je suis ici et je suis très heureux de mon parcours.
Comment s'est déroulé le processus de certification CEPA pour toi ?
Le chemin vers la certification CEPA a été long et parfois tortueux, avec des moments de frictions évidemment, mais aussi de satisfaction. Tout doit être parfait. Il faut avoir beaucoup de rigueur, s’attacher aux détails et avoir une organisation irréprochable. Heureusement, nous avons été très soutenus par Patrick Seror, car c’est évidemment un travail d’équipe. Finalement tout le monde a joué le jeu.
Quels conseils donnerais-tu à tes collègues qui pourraient être réticents à franchir le cap ?
L’adaptabilité est le mot d’ordre. Les avantages sont clairs : meilleur contrôle
et efficacité accrue. Je leur dirais de prendre le train en marche. Le CEPA est une bonne chose. C’est compliqué au début à cause des nombreux changements d’habitudes, mais il ne faut pas paniquer. Patrick sera là pour vous soutenir et vous guider avec exigence, mais également beaucoup de bienveillance !